Very toxic undeclared products in new glyphosate-free herbicides

We had previously (2018) identified petroleum residues and heavy metals in glyphosate-based herbicides such as Roundup. Their undeclared presence can explain carcinogenic effects in patients (court cases lost in USA by Monsanto and Bayer), but also mammalian tumours and lethal liver and kidney diseases (2012); all this was published and confirmed (2015-2017).

Recently, due to the international debate on glyphosate, glyphosate-free herbicides have been placed on the market. We precisely analysed 14 formulations of these pesticides by mass spectrometry. Heavy metals were detected at toxic levels of up to 39 mg/L, including iron, lead, nickel, silicium, titanium and arsenic. Very carcinogenic polycyclic aromatic hydrocarbons were also detected, at levels up to 32–2430 ?g/L in 12 of the pesticides studied. Their undeclared presence raises simultaneously very important public health concerns and questions on the scientific and legal assessments.

The research by Prof. Gilles-Eric Seralini and Gerald Jungers is published by the scientific peer-reviewed journal Food and Chemical Toxicology:

https://authors.elsevier.com/sd/article/S0278-6915(20)30660-8

PRODUITS TRÈS TOXIQUES NON DÉCLARÉS DANS LES NOUVEAUX HERBICIDES SANS GLYPHOSATE

Nous avons déjà identifié (2018) des résidus de pétrole et des métaux lourds dans les herbicides avec glyphosate, comme dans le Roundup. Leur présence non déclarée peut expliquer des effets cancérogènes chez des patients (procès perdus aux USA par Monsanto et Bayer), mais aussi des tumeurs mammaires et des maladies mortelles des foies et des reins (2012) ; tout cela a été publié et confirmé (2015-2017).

Récemment, à cause d’un débat international sur le glyphosate, des herbicides ont été mis sur le marché sans glyphosate. Nous avons analysé très précisément 14 formulations de ces pesticides par spectrométrie de masse. Des métaux lourds y atteignent des niveaux toxiques jusqu’à 39 mg/L, incluant fer, plomb, nickel, silicium, titane et arsenic. Des hydrocarbures polycycliques aromatiques très cancérogènes ont aussi été détectés dans 12 d’entre eux de 32 à 2430 ?g/L. Leur présence non déclarée pose à la fois des problèmes très importants de santé publique et des questions sur les procédés d’autorisations scientifiques et légaux.

Cette recherche par le Pr. Gilles-Eric Seralini et Gerald Jungers est publiée par le journal scientifique à comité de lecture Food and Chemical Toxicology :

https://authors.elsevier.com/sd/article/S0278-6915(20)30660-8

Posted on 29 octobre 2020 in News

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